Après deux nuits à Niagara Falls, direction Toronto, en bus avec de nouveau Greyhound, 150 km.
La métropole totalise 6.1 millions d’habitants, formant la quatrième agglomération d’Amérique du Nord après Mexico, New York et Los Angeles.
Toronto serait la cité la plus cosmopolite du globe, plus de la moitié de ses habitants sont nés à l’étranger et pas moins de 130 langues et dialectes y sont parlés.
Une vue de la Nathan Phillips Square :
Autant le dire de suite, Toronto ne m’a pas plus, c’est bien sur un jugement personnel qui n’a pas une valeur intrinsèque, mais Toronto cette ville tentaculaire m’a donné l’impression d’être un sosie de New York en moins bien, pas grand chose à faire, vacarme en continu, démolition complète ou quasi du peu de maisons historiques, les rescapées sont entourées de building à l’américaine sans charme. Peu d’espaces verts, la totale quoi.
Découverte de l’emblème de la ville, la CN Tower.
Indissociable du paysage urbain de Toronto, c’est une flèche de béton avec une sorte de soucoupe volante à l’étage, avec une antenne culminant à 553.33 m.
La CN Tower a été de 1974 à 2010, la plus haute structure autoportante du monde.
Super cher pour y accéder, un vrai business où tout est payant, vous êtes prévenu.
C’est proche de la tour que l’on trouve les Blue Jays de Toronto, l’équipe de baseball locale.
Il y a moyen de s’offrir un peu de calme au niveau de l’embarcadère pour les « Toronto Islands », la zone est bien aménagée et agréable.
En profiter pour découvrir des breuvages de bières exotiques.
D’autres visites à prévoir comme le Saint Lawrence Market.
Une copie de Time Square (comme c’est surprenant), le Yonge Dundas Square :
Un exemple d’architecture où l’on détruit quasi tout pour reconstruire des buildings, c’est bien cette maison perdue au milieu de géants.