Dernière étape avant le retour, Carthagène des Indes fondée au 16è siècle par les Espagnols, la ville servit aux colons de porte d’entrée vers l’Amérique de Sud.
La sublime architecture du centre colonial avec ses maisons et balcons d’époque lui vaut un classement au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.
Le centre historique vaut vraiment la peine, mais aussiGetsemani, où j’ai logé, pour son street art et son ambiance vivante et colorée.
Carthagène est découpé de façon un peu bizarre avec une ville fortifiée, des presqu’îles et des quartiers périurbains. En gros le quartier historique de la ville fortifiée se situe sur une pointe entourée par la mer et par une muraille.
Le centre est quadrillé en « Calle » et “Carrera” numérotées perpendiculaires les unes aux autres. La ville fortifiée est directement reliée au sud-ouest à Bocagrande, au sud-est à Getsemani et au nord-est au quartier où se trouve l’aéroport. Depuis le centre historique s’étend vers le sud-est toute la ville moderne de Cartagena, celle où quasiment aucun touriste ne va jamais.
C’est par cette fenêtre que l’on pouvait dénoncé son voisin, sympa et en passant discrètement à cheval, elle est en hauteur…
Certaines portes de la vieille ville sont ornées de gros clous, Une denrée précieuse, jadis, signalant la présence derrière ces murs d’une famille aisée. Plus les clous étaient nombreux, plus les occupants étaient riches. Les portes sont aussi décorées d’un heurtoirs, qui symbolisaient la profession du propriétaire : un hibou pour les savants, un lion pour les politiques,, une main pour le clergé, un poisson ou une sirène pour les marins, etc.
Belle région pour terminer le découverte de la Colombie….
Merci Jojo, là je suis rentré, il fait un peu plus froid 🙂
Bonnes fêtes de fin d’année
Rafael